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•🇧🇯Destination Bénin🚍•♦️A la découverte de nos Communes.•♦️🇧🇯KPOMASSÈ😊Entre pêche, pisciculture, maraîchage et tourisme♦...
11/06/2025

•🇧🇯Destination Bénin🚍

•♦️A la découverte de nos Communes.

•♦️🇧🇯KPOMASSÈ😊
Entre pêche, pisciculture, maraîchage et tourisme

♦️Histoire résumée de KPOMASSE:

Non loin des villes de Ouidah et d’Allada au sud - ouest du Bénin, il y a la commune de Kpomassè ; un lieu de rencontre entre les cultures Fon et Hxueda.
Kpomassè fait partie des huit (08) communes du département de l’Atlantique et est subdivisée en neuf (9) arrondissements dont la majorité a en partage le lac Ahémé qui alimente au quotidien l’activité de pêche dans la commune.
La légende raconte que deux chasseurs répondant aux noms de Vagbadoto et de Hohounbo de coutume Fon étaient venus habiter dans une localité nommée Dagbégnon, une localité où vivait un certain Agbato, chasseur de coutume Sahouè originaire de Hounhoué dans le département du Mono. Un jour, les enfants de ce dernier étant partis à la chasse dans une épaisse forêt, avaient par mégarde tiré sur un homme, le prenant pour un animal. Il mourut aussitôt. Les parents du défunt se révoltèrent et voulurent tuer les pauvres enfants pour se venger. Une querelle vit alors le jour entre les deux familles. La situation était devenue invivable. Hohounbo qui était un ami intime de Agbato, avait été mis au courant de ses difficultés. Il lui fit appel pour venir habiter auprès de lui afin de sauver la vie de ses enfants. Ils prirent alors la fuite, traversèrent le lac Ahémé pour venir s’installer à Dagbégnon. Hohounbo heureux de voir son ami auprès de lui, le rassura en ces termes « non fi kpodo vi towe lekpo kpo non setin sin viton kon a » ce qui littéralement signifie : « Reste ici avec tous tes enfants. Car la panthère qui a mis bas n’abandonne jamais ses petits ». C’est à partir de ce jour que cette localité qui s’appelait DAGBEGNON prit peu à peu le nom de Kpomassè qui est devenu celui de la commune.
Pendant la période coloniale, Kpomassè dépendait du cercle de Ouidah. C’est en 1978 sous le régime révolutionnaire que le district rural de Kpomassè a été créé pour devenir plus t**d, la sous-préfecture de Kpomassè.
A l’avènement de la décentralisation, Kpomassè conservera ses limites et potentialités. La commune d’Allada constituera sa limite au Nord, tandis qu’au Sud son territoire prendra fin là où commence Ouidah. Son flanc Ouest sera limité par les communes de Comè et de Bopa avec une frontière naturelle composée du lac Ahémé et d’un affluent du fleuve Couffo alors que Tori-Bossito et Ouidah constitueront sa limite à l’Est.
Sous ses neuf arrondissements : Agonkanmè, Aganmalomè, Agbanto, Dédomè, Dekanmè, Kpomassè-Centre, Sègbohoué, Sègbéya et Tokpa-Domè, il y a soixante-seize (76) villages et quartiers établis sur une superficie de 305 km², soit les 9 % du territoire de l’Atlantique. Environ 72.000 personnes habitent Kpomassè et ont hérité des pratiques inhérentes au Zangbéto (Gardien de nuit) ; Kluito (Culte des revenants) et du Oro (Société secrète des hommes), même si la grande majorité est chrétienne aujourd’hui.
En termes de production et d'activités économiques, en dehors de la pêche, Kpomassè est un territoire favorable à la culture du maïs, de l’arachide, du manioc, du piment, de la tomate et des arbres fruitiers (mangue, agrumes, ananas). On y transforme et commercialise les produits agricoles (gari, huile de palme, huile d’arachide) On y pratique aussi le maraîchage et la pisciculture
En dehors des Hommes et femmes, Kpomassè offre des lieux, on peut voir entre autres la forêt sacrée Dagbohoussou, le prestigieux foyer de repos des prêtres catholiques à Sègbohouè, l'île de Mitogbodji et le village mythique Gogotinkpon où il est créé "Détour par Gogotinkpon" la route de l'eau sur laquelle se découvrent des vestiges historiques liés au transport fluvial du Sud Bénin.
Il y a aussi sa berge lagunaire située dans la zone Est du lac Ahémé sur une distance de 41 km, les falaises d'Agbiyèkou dans l'arrondissement de Tokpa-Domé et celles localisées à Couffonou dans l'arrondissement de Dédomè, la place Belvédère de Sègbohouè, deux places remarquables dans les villages de Doga et Adjidjantomè, la plage de Nazoumè et les voies lagunaires (route des pêches, gare ferroviaire).

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📚 Sources : Ministère de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale / République du Bénin 🇧🇯

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•🇧🇯Destination Bénin🚍•♦️A la découverte de nos Communes.•♦️🇧🇯KOUANDÉ😊Le trésor caché des Bagana aux pieds de l' Atacora....
08/06/2025

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•♦️A la découverte de nos Communes.

•♦️🇧🇯KOUANDÉ😊
Le trésor caché des Bagana aux pieds de l' Atacora.

♦️Histoire résumée de KOUANDE.

La commune de Kouandé, encore appelée la Cité des Bagana, où les chevaux sont artistiquement accoutrés et dressés pour la parade lors des fêtes identitaires, est située à 542 km de Cotonou, plus précisément au Nord-Ouest du Bénin. Elle est solidement incrustée dans le massif montagneux de la chaîne de l’Atacora, spécificité géographique qui donne son nom au département. La commune de Kouandé qui fait partie de la zone sèche continentale, s’étend sur une superficie de 4500 km2. Elle est limitée au Nord par la commune de Kérou, au Nord-Ouest par celle de Tanguiéta, au Sud-Ouest par la commune de Natitingou, au Sud par les communes de Copargo, Djougou et Boukoumbé, à l’Est par celle de Pehunco, et à l’Ouest par celle de Toucountouna.
Dans cette région fière de sa végétation de type arboré de forte emprise agricole, dense le long des cours d’eau, des forêts classées de Mékrou et de Kouandé, les Bariba constituent le groupe socioculturel majoritaire, soit 43,6% de la population, suivis des Bètamaribè 24%, des Peulh 17,9%, les Yom et les Lokpa 7,2%, et le reste des groupes socioculturels font 7,7%. La religion dominante est l’Islam 50,43%. Viennent ensuite le christianisme 23,05%, les religions endogènes 10,06% et des athées dont la moyenne est estimée à 12,51%.
De l’histoire de ce massif montagneux de la chaîne de l’Atacora, repère fondamental des Bariba installés dans la région depuis le XVIII ème siècle, on peut noter que le Royaume de Kouandé a été fondé par Worou Wari, le fils d’un prince Bariba chassé de Nikki. Une lignée qui explique l’attachement à la célébration de la fête de la Gaani dont l’origine est à Nikki, et qui est aussi célébrée avec faste chez les Bagana.
La commune de Kouandé est subdivisée en 6 arrondissements ( Birni, Chabi-Couma, Fô-Tancé, Guilarmo, Oroukayo et Kouandé), répartis en 51 villages et quartiers de villes.

Dans le domaine du tourisme🚍, la commune de Kouandé dispose d’un potentiel avéré mais qui, malheureusement n’est pas exploité. On peut y visiter le Palais Royal de Birni, le Palais Kpandé Sounon, le Palais Royal de Kouandé, les sites mémoriaux de Bouro, Ko-Mbiri, Worouko Taamou, Nabatchi et Koussanon. La randonnée qui mène vers Worouko Taamou, par exemple, est très adorable et les visiteurs peuvent admirer les champs de bataille, les tombeaux et même les restes d’un rempart. Les lieux sacrés de Tikou, de Bermès Sanni, Gnaari, Doko et enfin la chute d’eau de Maka et la vue panoramique sur Kouandé sont autant d'attractions.
La Commune de Kouandé, dont les terres fortement arrosées par une pluviométrie qui oscille entre 900 et 1100 mm de mai à septembre avec un pic en août, s’est spécialisée dans l’agriculture et l’élevage. On y cultive abondamment les céréales, les racines et tubercules. Et les principales cultures pratiquées par ordre d’importance sont : le maïs, le manioc, l’igname, le coton, le sorgho et l’arachide sans oublier d’autres cultures de rente comme le karité et le cajou. La disponibilité de points d’eau constitue un atout pour les nombreux pâturages qui essaiment le territoire de la commune. D’autres activités occupent les populations comme la pêche (peu développée), la chasse, l’exploitation du bois, le commerce et la petite industrie.

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•🇧🇯Destination Bénin🚍•♦️A la découverte de nos Communes.•♦️🇧🇯TANGUIÉTA😊Une vue surprenante à travers la montagne fendue....
07/06/2025

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•♦️A la découverte de nos Communes.

•♦️🇧🇯TANGUIÉTA😊
Une vue surprenante à travers la montagne fendue.

♦️Histoire résumée de TANGUIETA: C’est de loin l’un des reliefs les plus attractifs du Bénin. On y visite les impressionnantes chutes de Tanongou, Nanèbou et Tanguiéta ainsi que le parc national de la Pendjari (PNP), une des premières destinations touristiques du Bénin et la plus importante surface protégée de la biodiversité au Bénin.
Dès son entrée, par le côté sud, Tanguiéta vous absorbe par l’emprise de ses massifs montagneux. Justement, la commune de Tanguiéta doit son nom à une brèche de 15 mètres environ, ouverture naturelle dans la montagne. Du fait de cette brèche à laquelle on parvient après une route ondulée à travers la montagne et sa végétation ponctuée par de petites chutes d’eau saisonnières, l’appellation originelle de la commune est « Tan Kiéta ». Dans les langues locales Waama et Naténi cela veut dire « montagne cassée (ou fendue) ».
Le relief de Tanguiéta est constitué de la pénéplaine de la Gourma à l’ouest et de la chaîne de l’Atacora, à l’est. L’Ouest, à partir de la falaise abrupte orientée Nord-Sud, présente une plaine monotone en pente douce débouchant parfois sur des bas-fonds hydromorphes s’étendant jusqu’à la Pendjari (cours d’eau occidental). Elle est caractérisée par un vaste espace relativement plat compris entre 150m à 250m, appartenant au grand ensemble de la plaine de Gourma.
L’Est, partie accidentée est caractérisée par les différents chaînons de massifs de la chaîne de l’Atacora dominés par les roches cambriennes. D’origine plutonique ou volcanique, cette unité domine les agglomérations de Tanongou, de Cotiakou et de Tanguiéta Centre. Cette partie présente un important réseau de vallées, de collines dont l’ensemble donne un aspect ondulé et son altitude varie entre 200 et 565 m.
Le réseau hydrographique de la commune est essentiellement constitué de la rivière Pendjari et de ses affluents. La Pendjari prend sa source dans les montagnes de l’Atacora, court vers le Nord avant de descendre par une grande sinueuse au Sud-Ouest où il rentre dans le Togo pour prendre le nom Oti. Sur son parcours, elle reçoit sur sa rive gauche, les affluents comme Podiéga, Benkara, Maagou et la rivière Yabéti de Tanongou.
Sa végétation est constituée principalement de savane marquée par une forte emprise agricole au-delà des limites des zones classées et est caractérisée par des arbres tels que le néré, le karité et le caïlcédrat, etc.
La commune de Tanguiéta compte 05 arrondissements à savoir : Cotiakou, Taiakou, Ndahona, Tanongou et Tanguiéta. Elle est située au Nord-Ouest de la République du Bénin et plus précisément dans le département de l’Atacora, dans les limites de la République du Burkina-Faso au Nord, les communes de Kérou et de Kouandé à l’Est; la commune de Toucountouna au Sud-est, Boukoumbé au Sud, Matéri à l’Ouest et Cobly au Sud-Ouest .
Son territoire s’étend sur une superficie de 5 647,5 km2, ce qui fait d’elle la commune la plus vaste du Bénin. Elle est traversée par la route Inter Etat (RNIE3) Bénin-Burkina Faso et forme avec les communes de Cobly et de Matéri le territoire de développement de la Pendjari.
Au dernier Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH 4) , la commune de Tanguiéta comptait 74 675 habitants dont 36 431 hommes, soit 48,78% et 38 244 femmes, soit 51,21%. Et le taux de croissance démographique en 2013 étant de 2,67%, la population estimée en 2020 donne 90.000 habitants.
Avant 1978, la commune regroupait les communes actuelles de Matéri, de Cobly et une partie de Toucountouna. Les populations de Tanguiéta étaient constituées de clans et de groupes arrivés par vagues successives depuis la boucle du Niger et qui se sont installés entre les XVIIIème et XIXème siècle grâce à l’insertion du département de l’Atacora dans le circuit de la traite des esclaves et du commerce transsaharien.
Aujourd’hui, la commune abrite une diversité de groupes socioculturels tels que : les boulba, les Natimba, les Gourmantché, les Tankamba (waaba), les Byalba, les Betammaribé, les Mossi, les Peulh, les Fon, les Haoussa, les Zerma, les dendi, les Yoruba, et les Ibo. On y pratique principamement les religions traditionnelles (très dominantes), en plus du christianisme et de l’islam.
Annuellement, les populations de l’arrondissement de Cotiakou célèbrent à la date du 15 août la fête des ignames comme à Savalou et de même que la fête des religions endogènes à Taiacou sous l’égide du Roi Dogo Kouaro 12.

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•🇧🇯Destination Bénin🚍•♦️A la découverte de nos Communes.•♦️🇧🇯TORI-BOSSITO😊Un potentiel agro-culturel sur un air de centr...
05/06/2025

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•♦️🇧🇯TORI-BOSSITO😊
Un potentiel agro-culturel sur un air de centre aéré.

♦️Histoire résumée de TORI-BOSSITO: La Commune de Tori-Bossito est située au Sud du Bénin, dans le département de l’Atlantique, à un quart d’heure de vol d’oiseau de Cotonou dont elle est l’une des cités dortoirs. D’une superficie de 328 km2, cette région en pleine transformation compte tenu de sa proximité avec la capitale économique du Bénin, dispose également de terres propices à l’agriculture, à l’exploitation du bois de chauffe, au développement d’espaces dédiés à la détente et à l’écotourisme favorisée par le fleuve louho, poissonneux qui borde ses rives sur une bonne partie. Sa population, essentiellement agricole est estimée à plus plus 60 000 habitants.
Devenu depuis quelques années un paradis touristique pour ceux qui s’échappent du stress de Cotonou, l’espace d’un week end en famille, Tori-Bossito concentre sur son sol une longue liste de projets de fermes avicoles, aquacoles et de vastes plantation d’ananas aux côtés desquelles le maïs est aussi produit en grande quantité. Tori-Bossito est limitée au Nord par la Commune d’Allada, au Sud par la Commune de Ouidah, à l’Est par les Communes de Zè et d’Abomey-Calavi, et à l’Ouest par la Commune de Kpomassè. Sur le plan territorial, la Commune est subdivisée en six (06) arrondissements que sont : Avamè, Azohouè-Aliho, Azohouè-Cada, Tori-Cada, Tori-Gare et Tori-Bossito pour un effectif de 58 villages.
La Commune de Tori-Bossito fait partie des 07 sept communes de l’Atlantique qui consacre une part importante de leur superficie à la production de l’ananas. Un engagement des producteurs qui en fait le deuxième derrière Allada. Mieux, elle est célèbre pour sa source thermale qui sert à fabriquer une eau minérale très prisée des Béninois.

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•🇧🇯Destination Bénin🚍•♦️A la découverte de nos Communes.•♦️🇧🇯DOGBO😊Terre des adjas et des Hommes à queue.♦️Histoire résu...
04/06/2025

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•♦️A la découverte de nos Communes.

•♦️🇧🇯DOGBO😊
Terre des adjas et des Hommes à queue.

♦️Histoire résumée de DOGBO: L’histoire raconte qu’il y a longtemps, existaient des hommes étranges, de courte taille et de teint rouge, qui fréquentaient et animaient un marché du peuple Adja, dans l’actuel département du Couffo. Ces hommes alors appelés les Akpafus, étaient des forgerons et excellaient dans la fabrication d’outils agricoles comme les houes. Mais ils soulevaient aussi beaucoup de curiosité chez les Adja alors autochtones, parce qu’ils venaient toujours au marché avant tout le monde et s’en allaient toujours après tout le monde ; et toute la journée durant, ils ne se levaient jamais de là où ils étaient assis.
Personne ne connaissait leur demeure. Un jour, quand les adja se rendirent compte que chaque Akpafu s’asseyait toujours sur un petit trou dans la terre, ils leur tendirent un piège. La veille du jour du marché, les adjas introduisirent de l’huile rouge dans les trous, ce qui attira les fourmis. Le jour du marché quand les Akpafus arrivèrent et s’assirent, les fourmis se mirent à les piquer. Pourquoi? Ces hommes avaient chacun une queue qu’ils introduisaient dans le trou sur lequel ils étaient assis. Mais face à la douleur que leur infligeaient les fourmis, ils prirent la fuite en plein milieu du marché, laissant voir pour la première fois leur queue au grand jour. On les appelle « Les hommes à queue ». Les Adja les suivirent jusqu’à découvrir leur demeure. Ces hommes vivaient dans des galeries souterraines qui aujourd’hui peuvent être comptées au titre du patrimoine culturel touristique du Bénin.
Dogbo peut se traduire littéralement comme « Gros trou » ou aussi comme « espace d’étalage » (dans un marché), mais Dogbo est avant tout aujourd’hui une des 77 communes que compte le Bénin. Elle est peuplée majoritairement de Adjas originaires de Tado, mais on peut aussi y rencontrer des Sahouès des Kotafons, des fons, des Nagots et des Minas.
Dogbo est limitée par les communes de Lalo, Toviklin et Djakotomey au nord ; par Lokossa et Bopa au Sud ; par le département de l’Atlantique à l’Est et par la république Togolaise à l’Ouest. Elle est étendue sur 475 km2 et fait partie de la zone appelée « Le plateau d’Adja ».
Ses plus de 110.000 habitants traversent chaque année deux saisons sèches et deux saisons pluvieuses et pratiquent principalement l’agriculture avec comme culture phare le maïs.
Comme cultures secondaires, ils produisent le manioc, la tomate, le Niébé, l’arachide et le haricot et leur deuxième grande activité est le commerce qui fait vivre le marché central une fois tous les quatre jours.
A Dogbo, parlez Adja-gbé (la langue locale), vous aurez des interlocuteurs sûrs, même si le type d’Adja-gbé qu’on y parle est moins usité pour la chanson. A défaut, il est aussi possible de se frayer un chemin même jusqu’au palais royal de Dogbo Ahomey en parlant Fon gbé, ou Français. Au Palais, c’est une femme, la reine Sessou Akolognon qui siège. Elle veille en partie sur la tradition, les rites mais aussi les rythmes de la cité.
En termes de rythmes par exemple, les grands jours de cérémonies, Dogbo exécute le Atchimehoun qui lui est propre. Il arrive aussi qu’elle emprunte à la culture Adja d’autres rythmes comme le Agbadja, le Toba, Aglanhoun, Kobou, le Gogohoun le Zinli, le Achipé etc…

Bien que faisant une place au Christianisme et à l’Islam, Dogbo a gardé des liens forts avec la foi de ses ancêtres et voue un culte à plusieurs divinités comme Thron, Kininsi, Lègba, Enan, Heviosso ; chaque Dogbonou y va de son obédience.
A Dogbo, les hommes sont accueillants. Ils vous feront goûter du bon Sodabi (boisson alcoolisée tirée du vin de palme) qu’ils extraient eux-mêmes tandis que les femmes vous présenteront leurs magnifiques galettes d’arachide et leur gari (farine de manioc) de qualité supérieure. Mais alors, s’il ne s’agit pas juste de tenir la faim, il faut s’offrir un déjeuner entier de pâte de maïs à la sauce graine (dékunsunu) pour sentir la succulence de cette commune de 7 arrondissements — Ayomi, Dévé, Honton, Lokogohoué, Madjrè, Tota et Totchangni.

Puis, pour être certain d’en apprendre vraiment sur cette commune, il faut mettre pied à la forêt sacrée de Dogbo Ahomey (sur 2 Ha), et au site des hommes à queue de Goundoudji. Il faut peut – être aussi toucher des yeux les puits artésiens, les hippopotames du fleuve Mono et du lac Tobadji, le centre de vannerie et de poterie d’Agnavo, le périmètre rizicole autour de Dévé, les étangs piscicoles d’Agbédranfo.

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•🇧🇯Destination Bénin🚍•♦️A la découverte de nos Communes.*•♦️🇧🇯SÈMÈ-PODJI😊*Une promesse de fleuron industriel pétrie d'au...
01/06/2025

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•♦️A la découverte de nos Communes.

*•♦️🇧🇯SÈMÈ-PODJI😊*
Une promesse de fleuron industriel pétrie d'autres atouts.

Maire

♦️Histoire résumée de SEME-PODJI: La Commune de Sèmè-podji, encore appelée banlieue Sud-Est de Porto-Novo, a été érigée en sous-préfecture de Houlènou en 1965. Elle s’étendait de la lagune de Porto-Novo à la lagune de Cotonou. Puis, elle est devenue sous-préfecture de Sèmè-Podji suite à un battement de 1967 à 1971. Au lendemain de la révolution du 26 octobre 1972, elle est devenue district de Sèmè-Podji.
La Commune de Sèmè-podji qui est la première bourgade traversée, lorsqu’on tente une échappée de Cotonou par l’autoroute qui relie la métropole béninoise à Porto-Novo, la capitale du Bénin, se présente comme une ville tampon, une zone industrielle d’avenir, située entre le département du Littoral et celui de l’Ouémé dont elle fait partie. Elle s’étend sur une superficie de 250 km2 et est limitée au Sud par l’Océan Atlantique, à l’Est par la République Fédérale du Nigéria, à l’Ouest par la Commune de Cotonou, puis au Nord par les Communes de Porto-Novo et des Aguégués. Elle est subdivisée en six (06) arrondissements que sont : Agblangandan, Aholouyèmè, Djèrègbé, Ekpè, Tohouè et Sèmè-podji pour un total de 55 villages et quartiers de ville.
Du fait de divers mouvements migratoires en provenance principalement de Cotonou, de l’Ouémé, du Plateau, et des ressortissants nigérians, tous attirés entre autres par le business autour des parcs de véhicules d’occasion aussi bien pour le marché intérieur que vers les pays de l’hinterland, et la présence de diverses industries de transformation, la Commune de Sèmè-podji a une population qui ne cesse d’exploser les prévisions. En dix ans, sa population a quasiment doublé, passant de 115 238 habitants en 2002 à 224 207 habitants en 2013, soit un taux annuel d’accroissement intercensitaire de 6,24 %, selon le Recensement Général de la Population et de l’Habitat réalisé en 2013. Sur place, les groupes socioculturels dominants sont les Xwla, les Goun, les Tori, les Yoruba et les Fon, auxquels s'ajoutent les immigrants ibo venus du Nigeria voisin pour le commerce.
Située dans une plaine de faible altitude, comprise entre 0 et 6 m, entourée de plusieurs plans d'eau comme l’océan Atlantique, la lagune de Porto-Novo, le fleuve Ouémé et le lac Nokoué, la Commune de Sèmè-Kpodji est dotée d'un climat soudano-guinéen caractérisé par deux saisons sèches (décembre-février et août-septembre) et deux saisons pluvieuses (avril-juillet et octobre-novembre). La température annuelle est en moyenne de 27 °C. C'est l'une des zones les plus arrosées du Bénin, avec des précipitations moyennes de l'ordre de 1 100 mm par an.
Grâce à ses terres, sa proximité avec le Nigéria et le fleuve Ouémé, la Commune de Sèmè-Kpodji dispose de plusieurs atouts. C’est donc de nature que son économie repose essentiellement sur l'agriculture et l'élevage, la pêche et le commerce, surtout transfrontalier. La population pratique à la fois des cultures vivrières (manioc, maïs, patate douce, riz, niébé et arachide), des cultures maraîchères (tomate, piment, gombo, légumes) et des cultures de rente, telles que la canne à sucre ou les cocotiers.
L'élevage qui s’y pratique est principalement celui des porcs qui constitue une source considérable de revenus des ménages, surtout avec la restauration qu’il y a autour de cette viande très prisée dans cette partie du Bénin. Mais, de façon plus traditionnelle, on rencontre aussi des volailles, des bovins et ovins, des caprins, des lapins et des aulacodes. Leur alimentation se fait souvent sur les espaces herbeux sous les cocotiers.
Cependant les habitants de Sèmè-podji pratiquent principalement la pêche et la pisciculture qui sont deux activités très importantes pour des natifs majoritairement pêcheurs. Elles se font dans tous les arrondissements et constituent une ressource considérable dans le panier de la ménagère. Les types de pêche pratiqués sont : la pêche à la nasse, au filet, à l’hameçon, la pêche maritime, l’Acaja, les trous à poisson, les étangs piscicoles. Les principales espèces pêchées sont : silure, tilapia, crevette, écrevisse, raie, mollusques, crabes, sardinelle, barre. L’existence de cours d’eau, des marais et bas-fonds constitue l’atout naturel de cette activité qui draine bien de touristes.
La Commune dispose d’un potentiel d’infrastructures de tourisme et d’hôtellerie non négligeables. Il s’agit :
• des sites touristiques tels que le Monument Saint Antoine de Padoue à Mondocomè dans l’arrondissement d’Agblangandan, le Musée Honmè et le Vodoun Houéhoun à Ekpè, le lac Nokoué et ses rives, les plages de l’océan Atlantique et de Sèmè-podji du centre touristique CTA Bymin’s à Ouèkè dans l’arrondissement de Djrèrègbé ;
• des lieux historiques à Davatin et Agbogodo dans l’arrondissement d’Agblangandan, wéla et Yovohonto à Kétonou dans l’arrondissement d’Aholouyèmè, Ohoun et Kinsi à Houinta, puis la résidence du Roi Toffa 1er à Awanou dans l’arrondissement de Djrèrègbé ;
• des structures d’accueil à savoir hôtels (Hôtel 15 Janvier à Ekpè, Palm Beach, CTA Bymin’s), Motels (Motel Yamadjako à glogbo, motel de Ekpè3 / PK13), des auberges et centre d’hébergement, (CTOM Emmaüs à Tohouê), des maquis/restaurants pour faciliter le séjour des touristes et/ou des hôtes dans la Commune.

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•🇧🇯Destination Bénin🚍•♦A la découverte de nos Communes.•♦🇧🇯MATERI😊♦Symbole de l'authenticité ethnique.                  ...
30/05/2025

•🇧🇯Destination Bénin🚍

•♦A la découverte de nos Communes.

•♦🇧🇯MATERI😊♦
Symbole de l'authenticité ethnique.
♦️Histoire résumée de MATERI
La commune de Matéri, située au nord-ouest du Bénin, à 627 km de Cotonou est une destination prisée pour les touristes.
Matéri est ancrée dans le département de l’Atacora, qui a ce privilège de la nature d’abriter, avec deux autres communes sœurs, le parc national de la Pendjari, un des plus remarquables attraits touristiques du Bénin qui couvre 275 000 ha, et qui reste à ce jour, l’une des plus belles réserves de l’Afrique de l’Ouest, depuis 1961.
Prise seule, la commune de Matéri couvre une superficie de 1740 Km2, et est découpée en six (06) arrondissements à savoir : Dassari, Gouandé, Matéri, Nodi, Tantéga et Tchanhoun-Cossi qui à leur tour sont éclatés en 55 villages. Matéri, c’est également une terre de sportifs pour son altitude élevée. C’est donc sans surprise que ce territoire soit l’origine de l’athlète béninoise Noélie YARIGO, coureuse de fond, spécialiste du 800 mètres surnommée Guéparde du Pendjari, actuelle championne de France de sa catégorie.
Pour les origines, le recoupement de plusieurs sources historiques atteste que les populations qui habitent l’actuelle commune de Matéri ont une origine commune, même si les itinéraires de migration ne sont pas identiques. Les groupes socioculturels tels que les Sihibé de Gouandé, de Tchanhoun-Cossi et de Tantéga seraient venus de Nouhoun (Burkina-Faso). Les Sakwebe et les groupes alliés des trois (03) arrondissements précédemment cités seraient venus de Fada N’gourma (Burkina-Faso). Il apparaît clairement que les populations de Matéri ont une origine commune : le Burkina-Faso. D’ailleurs l’unicité de la langue Biali parlée, la pratique par tous du Kyéné qui est une cérémonie coutumière, confirment la véracité des sources historiques.
Le Gouvernement du Bénin, sous la houlette du Président Patrice TALON, s’est résolument engagé dans la valorisation de la commune de Matéri, à travers la gestion du parc national de la Pendjari qui est confiée à African Parks Network, une organisation de conservation à but non lucratif qui assume l'entière responsabilité de la réhabilitation et de la gestion à long terme des parcs nationaux en partenariat avec les gouvernements et les communautés locales en Afrique.
Les populations de Matéri, très inégalement réparties entre les six (06) arrondissements exercent plusieurs activités telles que la chasse à cause de la proximité du parc, la pêche sur les affluents du fleuve Pendjari, et l’agriculture. On y récolte beaucoup de produits vivriers comme le maïs, le sorgho, et le petit mil. On y cultive également des tubercules comme l’igname, le manioc et la patate douce, sans oublier une variété non négligeable de légumineuses.

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📚 Sources : Ministère de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale / République du Bénin 🇧🇯

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•🇧🇯Destination Bénin🚍•♦️A la découverte de nos Communes.•♦️🇧🇯SAVALOU😊Elle ne réclame plus sa beauté, elle l'entretient s...
29/05/2025

•🇧🇯Destination Bénin🚍

•♦️A la découverte de nos Communes.

•♦️🇧🇯SAVALOU😊
Elle ne réclame plus sa beauté, elle l'entretient simplement.

♦️Histoire résumée de SAVALOU: Pourrait – on parler de cette ville sans s’incliner devant la grande famille des «Gbaguidi » et ses dynasties royales « Lintono », « Gougnisso », « Dadavodou » et « Zoundégla » ? Pourrait -on s’adresser à cette ville sans associer à son nom d’origine le qualificatif de « La belle » ?
Savalou force l’admiration non seulement par la beauté de son relief mais aussi l’élégance légendaire de ses filles et femmes dont les rondeurs naturelles s’expriment harmonieusement au rythme du Tchinkounmè ou du Toba Hanyé, . Et que dire de la richesse de cette culture imposante, « la culture Mahi » qui se particularise à travers la plupart des compartiments de la vie sociale : la langue, la cuisine, les rythmes, les croyances etc. !
Oui, Savalou ne réclame plus sa beauté, elle tente de l’entretenir simplement, par la voix patriarcale et les chansons hautement philosophiques du roi Alokpon et ses disciples ; le « flé » (sifflet traditionnel) ; le son des calebasses retournée dans l’eau.
Chaque 15 Août Savalou met une nouvelle robe et va à la rencontre de ses courtisans par la célèbre « fête de l’igname » qui consacre la sortie de la nouvelle récolte de l’igname, moment attendu sur toute l’étendue du territoire national pour démarrer la consommation et la commercialisation de ce tubercule. Preuve qu’à Savalou la prédominance et le leadership n’émanent pas que du palais royal et des souverains ; ils sont aussi dans l’influence historico-culturelle de ce territoire qui s’est étendue autrefois jusqu’à la lisière du plateau d’Abomey et jusqu’à Agonli chez les « Mahi ba so kpo » (Mahi sans les collines).
Savalou, ce furent des années de résistance et de rivalités avec le royaume du Danxomè. Par le passé (période coloniale), c’était un centre d’influence. En qualité de cercle du moyen Dahomey, Savalou avait à sa tête un administrateur colonial, commandant de cercle et s’étendait sur 16.230 km2. Elle comprenait les cantons de Savè, Savalou (le chef-lieu), Dassa-Zoumè, Ouèssè, Kilibo, Djalloukou, Mahi, Bantè, et Manigri. Elle couvrait aussi toute la région du Zou-Nord actuel et quelques communes du Nord-Bénin (Bassila, Tchaourou). C’est après l’indépendance de 1960 qu’une réforme administrative crée les Sous-préfectures de Savè et de Dassa-Zoumè et il faudra attendre 1978 pour que naissent les sous-préfectures de Bantè, de Glazoué et de Ouèssè.
Aujourd’hui, via la décentralisation, Savalou a le statut de commune. Elle est établie sur 2 674 km2 et entourée de plusieurs collines et monts : collines jumelles de Kpataba-Savalou, le mont Sègui de Logozohè, et également la chaîne de Monkpa "Alokpasso" longue de 2km environ partie de la colline Donmononso passant par Agbassa, Atalalikwé jusqu'à Wallaso et la colline Logboso au Sud-Est du même arrondissement. Elle a la population la plus importante du département des Collines et se tient au milieu des communes de Dassa-Zoumè et de Glazoué à l’Est ; Djidja au Sud, Bantè au Nord et la République du Togo à l’Ouest sur environ 65 km (limite Nord-sud). Elle comporte 04 arrondissements de type urbain : Aga, Agbado, Attakè et Ouèssè et dix de type rural Djalloukou, Doumè, Gobada, Kpataba, Lahotan, Lèma, Logozohè, Monkpa, Ottola et Tchetti.
Arrivé à Savalou, ne perdez pas de temps, goûtez à un bon plat d’igname pilée à la sauce d’arachide. Ensuite, arrosez le tout avec du tchapalo fait localement.
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