Main Bleue

10/31/2023

"L'important n'est pas comment mais l'intention de nourrir avec amour" ♥️ Cliché: Felicia Saunders
"Je suis pour la tendresse. Je suis pour tout ce qui ressemble le plus à la justice. Le plus possible. Et je suis pour la dignité" ❤
Jacques Brel (1929-1978) auteur, poète et interprète.

06/07/2023

Vous connaissiez les chiens d'aveugles, il existe aussi des chiens formés pour assister les personnes sourdes ou malentendantes. Ils sont capables de répondre à la langue des signes et d'alerter leurs maîtres en cas de danger.

À Rampillon, en Seine-et-Marne, ils ne sont jamais très loin l'un de l'autre. Lui, c'est Snow, elle, c'est Morgane et comme elle est malentendante, lorsque le téléphone sonne, celui qui donne l'alerte, c'est le chien. "Le réveil, quelqu'un qui toque à la porte, quelqu'un qui m'appelle", idem avec l'alarme à incendie, Snow doit toujours être présent pour sa maîtresse. Grâce à son aide, Morgane vit une vie presque comme les autres après des années de difficultés liées à la surdité. "On se sent moins en sécurité parce qu'on sait qu'il y a des bruits qu'on ne peut pas entendre comme les sirènes de pompiers donc on a l'impression d'avoir moins de réactions (...) et là, ça va beaucoup mieux. Il sort avec moi à mes rendez-vous, au médecin, à l'orthophoniste et je me sens mieux".

Vous connaissiez les chiens d'aveugles, il existe aussi des chiens formés pour assister les personnes sourdes ou malentendantes. Ils sont capables de répondre à la langue des signes et d'alerter leurs maîtres en cas de danger.

06/03/2023

"Quels sont les lieux touristiques québécois qui privilégient à la fois l’accessibilité et le plaisir? Métro a demandé à Faustine Maréchalle, de l’organisme Kéroul, dont la mission est de rendre le tourisme et la culture profitables à tous et toutes, de nous présenter sa sélection"

Quels sont les lieux touristiques québécois qui privilégient à la fois l’accessibilité et le plaisir? Métro a demandé à Faustine Maréchalle, de l’organisme Kéroul, dont la mission est de rendre le tourisme et la culture profitables à tous et toutes, de nous présenter sa sélection.

03/25/2021

La 33e édition de la semaine québécoise de la déficience intellectuelle a lieu cette semaine

La Semaine québécoise de la déficience intellectuelle, qui souligne son 33e anniversaire en mars 2021, est une semaine de sensibilisation provinciale ayant pour objectif de créer des rapprochements entre la population et les personnes vivant […]

05/29/2019

L’amitié qui se forme entre un chien et son propriétaire peut parfois être très fusionnelle. C’est le cas de Nick Abbott,...

03/28/2019

Qui fut vraiment le Pr Hans Asperger dont le nom passé dans le langage courant qualifie aujourd’hui un syndrome autistique ? L’historienne américaine Edith Scheffer a découvert la véritable histoire du psychiatre après la naissance de son enfant autiste. Et ce qu’elle apprend la glace d’effroi. Le « gentil docteur » dépeint comme une sorte de Schindler des autistes a menti, et c’est un tableau bien différent qu’en dressent les archives. Les preuves ne manquent pas, elles sont accablantes. En 1938, professeur à l’hôpital pédiatrique de Vienne, Asperger compte parmi les psychiatres appelés à façonner le nouvel Allemand selon des critères eugéniques : sélectionner les parents d’après leur hérédité, leurs défauts biologiques mais aussi leurs tendances politiques, leur religion. Les conséquences sont réelles : on refuse des crédits aux « mal mariés », on stérilise les « mauvais » géniteurs... Et parmi les enfants autistes dont il est un spécialiste reconnu, Asperger identifie les « négatifs » et les « positifs » à l’intelligence détonante qui auront alors une chance d’échapper au tri macabre. Aux États-Unis, l’enquête d’Edith Sheffer a bouleversé et conduit à débaptiser le syndrome autistique. En France, cette histoire dramatique, encore méconnue, risque bien de susciter autant d’émotions.

Les enfants d'Asperger d' Edith Sheffer
Josef Schovanec (Préface) Le dossier noir des origines de l'autisme Paru le 27 mars 2019 Essai (broché)

Qui fut vraiment le Pr Hans Asperger dont le nom passé dans le langage courant qualifie aujourd’hui un syndrome autistique ? L’historienne américaine Edith Scheffer a découvert la véritable histoire du psychiatre après la naissance de son enfant autiste. Et ce qu’elle apprend la glace d’effroi. Le « gentil docteur » dépeint comme une sorte de Schindler des autistes a menti, et c’est un tableau bien différent qu’en dressent les archives. Les preuves ne manquent pas, elles sont accablantes. En 1938, professeur à l’hôpital pédiatrique de Vienne, Asperger compte parmi les psychiatres appelés à façonner le nouvel Allemand selon des critères eugéniques : sélectionner les parents d’après leur hérédité, leurs défauts biologiques mais aussi leurs tendances politiques, leur religion. Les conséquences sont réelles : on refuse des crédits aux « mal mariés », on stérilise les « mauvais » géniteurs... Et parmi les enfants autistes dont il est un spécialiste reconnu, Asperger identifie les « négatifs » et les « positifs » à l’intelligence détonante qui auront alors une chance d’échapper au tri macabre. Aux États-Unis, l’enquête d’Edith Sheffer a bouleversé et conduit à débaptiser le syndrome autistique. En France, cette histoire dramatique, encore méconnue, risque bien de susciter autant d’émotions.