Hypno-conteuse, Anne-Gaël Gauducheau

Hypno-conteuse, Anne-Gaël Gauducheau Vous traversez une étape de vie difficile? Et/ou vous cherchez à sortir des senties battus, app... 𝐇𝐲𝐩𝐧𝐨-𝐂𝐨𝐧𝐭𝐞𝐮𝐬𝐞? et ont beaucoup à s’apprendre l’une-l’autre.

Comédienne, puis artiste-conteuse depuis 1991, j’ai découvert l’hypnose il y a une quinzaine d'années au travers de témoignages et de lectures, de discussions avec des hypnologues aussi, qui m’ont amenée à m’interroger sur les liens étroits qui semblaient exister entre nos disciplines respectives. Curieuse, j’ai pratiqué l’auto-hypnose, puis je suis allée expérimenter différentes approches de l’hy

pnose : Ericksonienne, humaniste, symbolique entre autres. Finalement en 2014 j’ai décidé de me former sérieusement, et j’ai entrepris le parcours de certification comme technicienne puis praticienne en hypnose auprès de l’ARCHE, à mon sens l’une des plus sérieuses écoles d’hypnose en France. Ce que j’ai découvert là m’a émerveillée et m’a confirmée dans l’idée que conte et hypnose sont des disciplines cousines. Les deux disciplines sont si proches, qu’on pourrait imaginer un temps où elles n’étaient qu’une. Séparées aujourd’hui, ces deux pratiques se questionnent l’une l’autre, se frictionnent, se répondent, s’enrichissent. Cette page est un peu là pour faire dialoguer les deux.

𝐌𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬?
-Apprendre, chercher, créer, partager (et faire la grass'mat')
-Contribuer à la bonne santé de l'imagination et de la créativité (fonctions vitales) par tous les moyens: spectacles, écrits, disques, formations, accompagnement.
-Créer des passerelles entre les mondes (notamment entre le visible et l'invisible, le profane et le sacré)
-S'entrainer à percevoir (et faire sentir) notre lien avec tous les êtres vivants, humains ou non.
-Gouter l'imprévu, l'ouvert! Aujourd’hui, je partage ma vie professionnelle entre les salles de spectacles, les lieux d'échanges et de transmission, le cabinet d’hypnothérapeute et ma Mercedeath!

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2014/2019
Formée à l'Arche: hypnose ericksonienne, hypnose conversationnelle, systémique, puis Psychopathologie, Neurosciences. Mais aussi avec Lili Ruggieri au RITMO (apparenté EMDR), puis auprès de Dominique Espaze et Martine Tual à l'AMPR (Activation Métaphorique des Processus Régénératifs), et Méthode Phoenix Capacity.

2024
En formation "Mieux traverser le Deuil" avec Christophe Fauré

23/05/2025

Changer de vie?
🤣

« Il fallait prévenir les abeilles lorsqu’un être cher mourait.Car si on oubliait… elles pouvaient s’en aller. Ou mourir...
22/05/2025

« Il fallait prévenir les abeilles lorsqu’un être cher mourait.
Car si on oubliait… elles pouvaient s’en aller. Ou mourir de chagrin. »

Dans les replis paisibles de la vie rurale, une ancienne tradition bruissait doucement : dire aux abeilles.
Un rituel tissé de respect, de mystère, et d’un lien presque sacré entre l’homme et la nature.

Au XVIIIe et XIXe siècle, en Europe comme en Amérique, les apiculteurs ne voyaient pas les abeilles comme de simples insectes.
Elles étaient des membres à part entière de la famille, des messagères entre ce monde et l’au-delà.
Et comme tout proche, elles avaient droit à la vérité lorsque quelque chose d’important survenait.

À la mort d’un être aimé, lors d’un mariage ou d’une naissance, la maîtresse de maison — bien souvent la « bonne épouse » — s’approchait du rucher.
Elle frappait doucement sur la ruche, puis murmurait la nouvelle : un nom, un adieu, une promesse.
Parfois même, on recouvrait la ruche d’un voile noir, signe de deuil.

Pourquoi ce geste ?
Parce que la légende disait que si les abeilles n’étaient pas informées, elles pouvaient dépérir, cesser de produire du miel, abandonner la ruche… ou mourir.

Ce n’était pas qu’un folklore.
C’était l’expression d’une profonde croyance : que les abeilles ressentaient la joie comme le chagrin, et qu’elles devaient participer à la vie de la maisonnée.

Cette tradition plonge probablement ses racines dans la mythologie celtique, où les abeilles étaient vues comme des courriers de l’âme, capables de voyager entre les vivants et les morts.
Apercevoir une abeille après un décès, c’était parfois y voir l’âme en vol.

Certains apiculteurs allaient jusqu’à partager avec elles un morceau de gâteau de noces, ou quelques gouttes de vin, les invitant à la fête.

Il s’agissait d’une relation réciproque : respecter les abeilles, c’était recevoir en retour la bénédiction du miel et la prospérité de la ruche.

Dans un monde de plus en plus bruyant et déconnecté de la nature, la tradition de parler aux abeilles demeure un rappel précieux —
Celui de la tendresse silencieuse de nos ancêtres,
qui ne se contentaient pas de cultiver la terre,
mais dialoguaient avec elle.
Et dans ce dialogue, ils croyaient que les créatures du monde portaient en elles les secrets de la vie, de la mort…
et de tout ce qui danse entre les deux.
Le monde littéraire

Lorsqu’une femme est enceinte, les cellules de son enfant migrent dans son sang, puis retournent vers le bébé : ce phéno...
15/05/2025

Lorsqu’une femme est enceinte, les cellules de son enfant migrent dans son sang, puis retournent vers le bébé : ce phénomène porte un nom, à la fois mystérieux et poétique — la microchimérisme fœto-maternel.
Pendant quarante et une semaines, ces cellules circulent, tissent des ponts, échangent entre deux corps intimement liés. Et lorsque l’enfant vient au monde, une part de lui demeure en elle.
Ces cellules s’ancrent dans les tissus, les os, la peau, le cerveau de la mère — elles la marquent à jamais. Et chaque enfant à naître laissera, lui aussi, son empreinte unique.

Même si la grossesse n’arrive pas à son terme, même en cas d’interruption, ces cellules migratrices trouvent le chemin du cœur maternel.

Les chercheurs ont découvert que, lorsqu’un cœur de mère est blessé, les cellules fœtales affluent instinctivement vers la plaie. Là, elles se transforment, deviennent les cellules réparatrices dont ce cœur a besoin.
Le bébé panse sa mère, tandis que la mère façonne le bébé.
N’est-ce pas bouleversant ?

C’est aussi pourquoi certaines maladies disparaissent mystérieusement pendant la grossesse.
Le corps maternel se dévoue, sans relâche, pour protéger l’enfant — et l’enfant, à son tour, veille sur elle. Il la reconstruit, la renforce… pour mieux grandir.

Et ces fringales soudaines ? Peut-être le bébé chuchotait-il ce dont sa mère manquait…

Plus étonnant encore : des études ont retrouvé des cellules fœtales dans le cerveau de certaines mères… dix-huit ans après l’accouchement.
N’est-ce pas merveilleux ?

Si vous êtes mère, vous savez : ce lien subtil, cette capacité à ressentir votre enfant, même loin de vous.
Aujourd’hui, la science le confirme : vous les portez encore en vous, bien longtemps après leur naissance.

Et je trouve cela infiniment beau.

Le monde littéraire

Evidemment.Nous vivons dans des récits. Et on pourrait même dire que "la réalité" est le récit sur  lequel nous tombons ...
01/05/2025

Evidemment.
Nous vivons dans des récits. Et on pourrait même dire que "la réalité" est le récit sur lequel nous tombons raccord.
Les copa-in-es hypno plaisantent assez souvent avec cette idée ( que je crois assez vraie) qu'ils-elles sortent plutôt leurs consultant-es de l'hypnose avec laquelle ils entrent dans le cabinet .

Dans ce livre , le philosophe coréen parle des modalités de pouvoir actuelles comme de techniques de transe bien huilées.
Un système d’induction de transe collective.

(...) "L’enchevêtrement est totalisant et opère à de multiples niveaux. Les plateformes ne vendent pas de la publicité : elles vendent des états de transe. Leur produit n’est pas de la donnée : c’est une suggestion profonde. Elles ne profilent pas les utilisateurs : elles modulent les états mentaux. Elles n’épient pas les comportements : elles induisent des rêves.

Les algorithmes de recommandation sont de véritables techniques hypnotiques automatisées. Chaque scroll est une induction plus profonde. Chaque notification est un déclencheur hypnotique. Chaque feed est une séance d’hypnose personnalisée. La personnalisation algorithmique ne sert pas à nous montrer ce qui nous intéresse : elle sert à nous maintenir dans un état de transe optimal pour la consommation et le contrôle.

Le capital n’accumule plus seulement de la plus-value économique : il superpose des états de transe. Les cryptomonnaies ne sont pas seulement de la spéculation : ce sont des formes de transe financière collective. Les NFT ne sont pas seulement des actifs numériques : ce sont des fétiches hypnotiques. Le métavers n’est pas une nouvelle frontière technologique : c’est un environnement de suggestion intégrale.

L’économie des plateformes est donc une économie de transe. Poursuivons les révélations : Uber ne vend pas des courses, il vend le rêve de l’entrepreneuriat indépendant. Airbnb ne loue pas de maisons, il vend des fantasmes de vie alternative. Amazon ne livre pas de produits, il distribue des microépanouissements dopaminergiques. L’intelligence artificielle n’émule pas l’intelligence humaine, elle perfectionne les techniques d’induction hypnotique. La gig economy n’est pas seulement une précarisation, c’est l’induction d’une transe de travail permanente où l’autoexploitation est vécue comme une liberté. Enfin, le smart working n’est pas seulement du travail à distance : c’est la transformation de toute vie en travail." (...)
https://www.philomag.com/articles/lere-de-lhypnocratie-bat-son-plein-lisez-les-premieres-pages-du-livre-evenement?ref=gazette.inexco.org0

Merci Jean Gagliardi pour la découverte!

La MERE, la SORCIERE, la PRINCESSE, La GUERRIERE, la JEUNE FILLE.....les contes merveilleux regorgent (entre autres) de ...
04/04/2025

La MERE, la SORCIERE, la PRINCESSE, La GUERRIERE, la JEUNE FILLE.....les contes merveilleux regorgent (entre autres) de grandes figures féminines, grandes forces intemporelles tourbillonnant depuis la nuit des temps et s'actualisant sans cesse, puissantes et plurivoques, ombre et lumière.
Hier, un ami m'a fait une remarque intéressante. Il a dit:
-"En fait, une conteuse est exposée aux archétypes, de la même manière qu'un laborantin est exposé aux matières et substances chimiques". Il y a des risques."
A méditer...

Samedi matin, je vous propose de fêter (un tout petit peu en avance) l'arrivée du printemps!Rejoignez nous pour assoupli...
11/03/2025

Samedi matin, je vous propose de fêter (un tout petit peu en avance) l'arrivée du printemps!
Rejoignez nous pour assouplir vos neurones, étirer votre intuition, muscler votre imagination, avec une séance de Yoga de l'imaginaire.

Inscription : https://my.weezevent.com/yoga-de-limaginaire-202425-4-seances ?

𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗼𝘂 𝗲𝘀𝘁 𝗱𝗼𝗻𝗰 𝗢𝗥 𝗻𝗶 𝗰𝗮𝗿 ?Prendre des vessies pour des lanternes. J’adore cette expression. Prendre l’or pour le solei...
17/02/2025

𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗼𝘂 𝗲𝘀𝘁 𝗱𝗼𝗻𝗰 𝗢𝗥 𝗻𝗶 𝗰𝗮𝗿 ?
Prendre des vessies pour des lanternes. J’adore cette expression. Prendre l’or pour le soleil, la lumière, l’amour, l’immortalité, la perfection divine.

Prendre le symbole pour la réalité.

Avoir le nez sur le guidon. Continuer à s’enfoncer dans la matière dense, jusqu’à ne plus percevoir ses correspondances avec les autres niveaux de réalité. 𝗘𝘁𝗿𝗲, 𝗱𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗹𝘂𝘀, 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗶𝗻𝘁.𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝗰𝗶𝘁𝗲 𝘀𝘆𝗺𝗯𝗼𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲.
C’est une maladie grave. Pas incurable, non, à condition de s’en préoccuper… C’est pourquoi je donne régulièrement des cours de " Yoga de l’imaginaire"😊

Mais après avoir travaillé le mois dernier à Saint Barth (le petit paradis des millionnaires), je suis ces jours-ci en Thaïlande et je vis entourée d’or : bâtiments, peintures, statues, fines feuilles d’or que les fidèles collent sur les bouddhas…
L’occasion d’une réflexion simple mais qui, peut être, vaut d’être partagée :

Une statue de Bouddha n’est pas Bouddha. Elle est un symbole, autrement dit ce qui nous relie à cette réalité. Mais comme tout symbole, elle nous demande de faire de reste du trajet. Nous devons nous bouger et « aller vers ».

𝗨𝗻 𝘀𝘆𝗺𝗯𝗼𝗹𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗿𝗲𝗹𝗶𝗲 (𝗮𝘂 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗱𝗶𝗮𝗯𝗼𝗹𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝘀𝗲́𝗽𝗮𝗿𝗲) 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗽𝗼𝘀𝗲 𝗱𝘂 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗽 𝗱𝗲 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁 𝗱𝘂 𝗯𝗼𝘂𝗹𝗼t Il est à la fois un véhicule et un panneau indicateur, une partie de la carte et une partie du territoire, qui ne sont rien si nous même ne devenons pas l’autre partie.

Un symbole est une formule magique, un outil de transformation, un appel au mouvement.

L’or n’est rien si tu ne rejoins pas l’or en toi. L’or du monde. Il faut entreprendre, comme dans les contes et chansons anciennes, le voyage du héros ou de l’alchimiste.

Sans ça, l’or non seulement n’est pas signe d’accomplissement spirituel, mais il devient même le contraire : attachement, vanité, quête illusoire d’un éclat extérieur qui ne remplit pas l’âme,
Pas besoin d’être conteuse et de connaître les vieux récits type l'Anneau des Nibelungen pour le dire : ça peut être une vraie malédiction!

N'empêche. Le piège est grand et il est très facile de confondre briller et éclairer.
𝗟𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝘆𝘁𝗵𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗱𝗼𝗻𝗻𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀 : 𝗲𝗻𝗰𝗼𝗿𝗲 𝗳𝗮𝘂𝘁-𝗶𝗹 𝗹𝗲𝘀 𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗿, 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗮𝗻𝘁𝗲𝗿 𝗲𝘁 𝗲𝘅𝗲𝗿𝗰𝗲𝗿 𝘀𝗮 𝗽𝗲𝗻𝘀𝗲́𝗲 𝘀𝘆𝗺𝗯𝗼𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲.

NOTES :
🌻Dans l’Égypte ancienne, l’or était entre autres considéré comme la chair des dieux. Les pharaons étaient souvent enterrés avec des masques et des objets en or pour les accompagner dans l’au-delà.
🌻Chez les chrétiens, l’or est associé à la lumière divine, la pureté et la royauté du Christ. (les Rois Mages apportent de l’or comme offrande à l’enfant Jésus) .
🌻Pour le Bouddhisme il est symbole d’illumination et de perfection spirituelle.

… Et si on ne prend que la mythologie grecque, je pense à l’un des 12 travaux d’Hercule : cueillir des pommes du jardin des Hespérides (elles confèrent l’immortalité) ou encore à la fameuse Toisib d’Or recherchée par Jason.

😍😍😍
15/02/2025

😍😍😍

Beethoven, immense compositeur,  a commencé à 26 ans, à perdre l'audition.C'est dans un silence presque total qu'il comp...
10/02/2025

Beethoven, immense compositeur, a commencé à 26 ans, à perdre l'audition.

C'est dans un silence presque total qu'il composa la fameuse Neuvième Symphonie, avec son puissant "Hymne à la joie".

Lors de la première représentation en 1824, il était tellement coupé des sons qu'il n’a pas entendu les applaudissements du public à la fin, et c’est une chanteuse qui a dû le tourner vers la salle pour qu’il voie la réaction enthousiaste.

Grâce à une méthode ingénieuse, il "écoutait" la musique autrement : en mordant un bâton de bois relié au piano, il ressentait les vibrations voyager dans son crâne jusqu'à son oreille interne.
Il l'écoutait aussi comme le font les musiciens rodés au solfège : dans sa tête et en lisant les partitions.

J'ai pas mal voyagé avec des musiciens classiques. Et en effet, je les ai vus parfois, pendant des heures de trajets en train, lire des messages partitions comme je lis un conte...

Pas encore lu, mais ça ne va pas tarder..
10/02/2025

Pas encore lu, mais ça ne va pas tarder..

Disponible à partir d'aujourd'hui à la commande dans toutes les librairies :

Après deux ouvrages de clinique alchimique - Le travail des rêves et Les énergies du mal - qui témoignaient d'une pratique et soulignaient l'importance de la connaissance de l'herméneutique alchimique et de la lecture du processus proposées par Jung, le présent opus est le fruit d'un retour aux sources et d'une méditation personnelle de l'expérience très singulière du fondateur de la psychologie analytique telle qu'elle est consignée dans le Livre Rouge.

L'ouvrage s'efforce de répondre aux questions suivantes :

- Est-ce que le Livre Rouge s'inscrit dans le courant d'une révolution spirituelle (en Occident) qui s'accorde à l'homme une responsabilité décisive : se positionner face à ses passions et "faire naitre Dieu dans l'âme" ?
- En quoi initie-t-il une révolution thérapeutique (dont on peut penser qu'elle déborde celle de la psychanalyse) ?
- A quoi ce livre si baroque et si difficile, qui correspond en fait à une sorte d'auto-analyse de Jung et à son œuvre au noir, nous engage-t-il ?
- Peut-il souligner l'urgence pour un plus grand nombre d'un travail analytique Jungien, en s'inspirant de ce dont Jung a témoigné, et selon une intensité qui dépasse largement les seuls exercices de l'anamnèse comme ceux du développement personnel ?
- De quelle façon anticipe t-il ce que Jung décèlera dans la philosophie alchimique ?

Tu te souviens de l'oncle Barthélemy ?C'était un vieux marin qui avait autrefois voyagé dans l'univers étrange des lettr...
03/02/2025

Tu te souviens de l'oncle Barthélemy ?

C'était un vieux marin qui avait autrefois voyagé dans l'univers étrange des lettres de l'Atlantique.
Il tentait souvent de convaincre les autres de la réalité de ces mondes fantastiques, mais passait pour un vieux fou... Sauf évidemment aux yeux de Philemon et de son âne, eux aussi coutumiers de ces voyages.
Il avait une pipe dont la fumée parfois devenait véhicule, passage entre les mondes.

La fumée peut être un moyen de
communication entre les mondes.
A la fois offrande aux esprits (aux
ancêtres ou aux divinités), écran facilitateur du voyage (elle estompe les contours trop nets du "ici et maintenant" pour permettre l'émergence de" l'ailleurs") , expérience de l'impermanence, bouclier subtil.

Quelques fois chevaucher la fumée d'un bon Havane. Consumer. Évaporer. Brouiller la vue extérieure pour mieux transer...

Adresse

15 Rue Mathurin Brissonneau
Nantes
44100

Heures d'ouverture

Mercredi 07:30 - 21:00
Jeudi 07:00 - 20:00
Vendredi 00:00 - 00:00
Samedi 07:00 - 20:00

Site Web

https://histoiresauboutdufil.fr/, https://www.anne-gaelgauducheau.com/

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