La Berlière Gîte Nature

12/07/2025

Cette vidéo illustre parfaitement les comportements post-nidification chez la Chevêche d’Athéna. On observe ici un exemple typique de la phase d’émancipation, où les jeunes sont encouragés par les parents à quitter le nichoir et à développer leur motricité. La session d’escalade met en évidence l’utilisation combinée des griffes puissantes, du bec et des ailes pour progresser verticalement, un comportement essentiel pour renforcer les muscles et la coordination avant le premier vol. Ce processus est crucial pour la survie, car il prépare le juvénile à l’autonomie. Fascinant de voir cette adaptation comportementale et physique se dérouler sur une durée aussi longue, soulignant l’endurance et la persévérance du jeune oiseau.

11/07/2025

Pour ceux qui peuvent donner un peu à cette formidable association qu'est Equipaix, pour l'amour des équins.
Joy, notre merveilleuse ânesse, sa maman et son petit frère ont pu être sauvé grâce à cette association.

10/07/2025

09/07/2025

Le savez-vous ? Il existe 160 espèces connues du genre ail (Allium sativum) !
Le potager de Gallica vous emmène à sa rencontre.
https://gallica.bnf.fr/accueil/fr/html/lail
=> Flore complète illustrée en couleurs, de France, Suisse et Belgique (comprenant la plupart des plantes d'Europe). Tome 10 par Gaston Bonnier (1853-1922), 1914-1935
https://c.bnf.fr/W3U

08/07/2025

A 17h de ce jour... l’histoire retiendra et jugera.
La Loi Duplomb, sous couvert de “soutenir l’agriculture”, est en réalité une capitulation totale face au modèle agrochimique industriel. Mais aussi contre l’évidence scientifique. Pour ou contre la vie.
C’est une attaque frontale contre les décennies de travaux scientifiques indépendants qui documentent, preuves à l’appui, les dégâts sanitaires, environnementaux et climatiques du modèle agricole conventionnel.
L’agriculture industrielle détruit méthodiquement ce dont elle dépend : les insectes, les sols, l’eau, le climat.
Elle est aujourd’hui l’un des moteurs principaux de l’effondrement écologique.
Ce n’est pas une hypothèse, c’est un fait. Études de l’INRAE, du CNRS, de l’IPBES, de l’OMS, de l’INSERM, rapports du GIEC : toutes convergent vers une même conclusion. Ce modèle nous mène droit dans le mur.
Ce texte trahit le savoir scientifique. Il le piétine. Il choisit l’idéologie productiviste contre la vérité des faits.
Il ne s’agit pas d’aider l’agriculture : il s’agit de préserver un système industriel qui refuse de se remettre en question. Un système dont les coûts sociaux, sanitaires et écologiques sont reportés sur la société tout entière, pendant que les profits vont à une minorité déjà archi-subventionnée.

Mesdames et Messieurs les député·es,
La science est formelle : nous devons sortir de ce modèle, pas le verrouiller par la loi.
Voter ce texte, c’est nier les alertes. C’est ignorer les consensus.
C’est condamner sciemment l’eau que nous buvons, l’air que nous respirons, les générations à venir.
Refusez la Loi Duplomb. Écoutez la science. Protégez le vivant. Il est encore temps.

07/07/2025

Le gîte a fait l'objet d'une publication LPO info n°28 (Avril-Mai-Juin).

07/07/2025

Olivier Allard vous présente la musaraigne, un petit mammifère principalement insectivore méconnu, mais essentiel à l'équilibre de votre jardin 🐁

D'un naturel plutôt discret, on entend plus qu'on ne voit la musaraigne. Pourtant, cette adorable toute petite boule de...

05/07/2025

Du frelon asiatique aux moustiques tigres, certaines espèces animales prolifèrent davantage en Europe qu’elles ne le font dans leur habitat d’origine ➡️ https://l.franceculture.fr/Smw

05/07/2025

Ce que cela nous apprend
Fragilité inattendue : on pourrait penser que les espèces nocturnes sont épargnées par la chaleur diurne, mais ce n’est pas le cas.
Importance des refuges thermiques : nourrir la biodiversité implique de préserver des grottes, vieux bâtiments, haies et bosquets qui offrent des microclimats plus frais.
Accélération des crises climatiques : ces épisodes montrent à quel point les espèces sont déjà en situation de fragilité face aux températures extrêmes.
C’est à travers la préservation des micro-habitats et la sensibilisation que l’on peut durablement protéger ces précieux auxiliaires de l’environnement.

La canicule au mois de juin a eu des conséquences sur la faune. Parmi les premières victimes, la chauve-souris. Mais d’autres espèces sont plus adaptées.

01/07/2025

Ils ont validé la loi Duplomb, ce monstre législatif au service du poison.
Parce qu’ils n’ont ni honneur, ni mémoire, ni respect pour le vivant, ils ont déroulé le tapis rouge aux semeurs de maladies.
Ils ont offert une immunité aux tueurs légaux, à ceux qui empoisonnent nos campagnes, contaminent nos nappes, salissent l’air et les corps.
Cancer du sein, lymphome, Parkinson, leucémies infantiles, malformations congénitales…Ils savent.
Les études sont là. Les alertes pleuvent.
Mais ça pèse moins qu’un bulletin de vote FNSEA.
Ils ont tranché.
Ils ont choisi l’écocide à visage découvert.
Le vivant ? Trop fragile, trop lent.
Les profits ? Rapides, sûrs, protégés.
Et pendant que les sénateurs signent cette trahison en costume, pendant que les députés caressent les lobbyistes dans le sens du chéquier, une très large partie du monde agricole a applaudi.
Et ça, c’est peut-être le plus écœurant dans toute cette histoire.
Vous, les agriculteurs qui avez soutenu cette loi, vous qui criez à l’acharnement anti-paysan" dès qu’on vous demande un minimum de responsabilité : vous êtes complices.
Pas victimes, complices.
On vous a tendu une gamelle, et vous l’avez léchée avec gratitude.
On vous a promis que tout continuerait comme avant, que les molécules interdites deviendraient à nouveau "autorisées", et vous avez dit oui.
Même si ça veut dire que vos enfants, vos familles, vos amis tombent malades.
Même si ça veut dire que vos rivières crèvent, que vos sols meurent, que vos corps lâchent à 50 ans.
Vous n’avez pas voulu l’autonomie, vous avez choisi la servitude.
Et vous entraînez tout le monde avec vous dans votre chute.
Ce modèle vous tue. Vous le savez.
Mais vous défendez vos chaînes.
Vous défendez les coopératives qui vous ruinent.
Les fournisseurs qui vous endettent.
Les banques qui vous pressent.
Et les syndicats qui vous vendent.
Vous refusez les alternatives parce qu’elles vous obligeraient à penser autrement.
Mais elles existent.
Et pendant que vous creusez vos silos de m***e et votez des lois pour en produire plus, d’autres trop peu nombreux ou conscients, autour de vous, cultivent autrement.
Ils vous montrent que c’est possible.
Mais vous crachez dessus, par réflexe.
Alors ne venez pas pleurnicher quand le cancer frappe chez vous.
Ne venez pas crier à l’injustice quand votre commune doit fermer ses captages d’eau potable.
Ne demandez plus jamais de solidarité quand vous l’avez vous-même piétinée.
Les responsables politiques ? Oui, ils sont coupables.
Mais vous l’êtes tout autant et bien plus que tout
Duplomb, et tous les larbins qui ont validé ce texte, ont inscrit leur nom dans le camp de la mort.
Ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas.
Vous non plus.
Votre métier aurait pu être magnifique. Nourrir. Soigner la terre. Être allié du vivant.
Vous avez choisi d’être des bras armés.
Des exécutants. Des distributeurs de toxines.
Alors ne soyez pas surpris qu’on vous regarde désormais comme des criminels environnementaux.
Parce que c’est ce que vous êtes devenus.
Et ça, on ne l’oubliera pas.

Photo Thierry Wattez - Niort

30/06/2025

Sauvetage d'un lucane Cerf-Volant, tomber dans l'étang. En ce moment, les lucanes cerfs-volants sont en pleine activité.
Dès la fin du mois de juin, les amateurs d'insectes sont fin prêts, car cette période est cruciale : c'est le moment où le lucane cerf-volant s'active. Quand il fait suffisamment chaud, les mâles s'envolent et se battent à l'aide de leurs mandibules en forme de ramure afin de trouver une femelle de bonne volonté et de donner naissance à leur descendance. Leur temps est compté ; après avoir passé trois à quatre ans sous terre au stade de larves blanches et aveugles, ils muent et ne sortent de terre qu'au printemps suivant. Les mâles n'ont alors que quelques semaines pour s'accoupler.
Les conditions météorologiques doivent être idéales – ils préfèrent les soirées estivales chaudes et sèches. Les mâles ne vivent en outre que trois semaines. Ils doivent donc tout mettre en œuvre pour localiser et épingler une femelle aussi vite que possible afin que de transmettre leurs gènes.

29/06/2025

Ce marquage “au feutre” constitue une démarche scientifique essentielle pour documenter le cycle de vie et les besoins écologiques des abeilles sauvages, dans l’objectif de mettre en place des mesures concrètes de conservation.

[Courrier de l'Ouest] Une étude européenne inédite associant le CNRS de Chizé, en Deux-Sèvres, vise à découvrir les capacités de résilience des abeilles mellifères sauvages et le rôle de la forêt dans leur survie.