29/07/2025
An afternoon on Armona.
You leave your Casa W, beach bag over your shoulder, and walk down to the ferry terminal. The boat is full, sunhats, flip-flops, and the cheerful chaos of summer. A salty breeze from the open sea tousles your hair, and the horizon begins to shimmer.
Stepping off at Armona, you weave through the small crowd, finding your rhythm on the sandy main path. The air is fragrant with blooming oleander and fig leaves warmed by the sun.
The little houses are all full, their doors open, their charm intact. You keep going, barefoot now, until the sand scorches your feet, and only one thing makes sense: dive into the sea.
Salt on your skin. Crystal water. Time slows down.
Un après-midi à Armona.
Vous quittez votre Casa W, sac de plage sur l’épaule, et descendez tranquillement vers le quai. Le ferry est plein, chapeaux de paille, tongs, rires d’enfants. Le vent du large caresse les visages, l’horizon scintille déjà.
À l’arrivée, vous vous faufilez entre les touristes, puis vous vous engagez sur l’allée principale. Le sable crisse. Les odeurs d’été vous enveloppent : lauriers-roses en fleurs, feuilles de figuier chauffées au soleil.
Les petites maisons sont toutes pleines, coquettes, vivantes. Encore quelques pas jusqu’au ponton. Le sable est brûlant. Une seule chose à faire : plonger.
L’eau est translucide, le sel sur la peau. Le temps suspend son cours.